Eloge de Marie. Eloge de l’Aimée, Miroir de l’Amour. Eloge de la Femme Mère Déesse, Quintessence de l’Alif manifesté.
Rubrique : Chercheurs de Vérité. Repost par l’auteur, (1ère. édition janv.2013)
Auteur : Pierre Fasseaux . « L’Opus in Septem – Complot terroriste au temple de Hatshepsout » . (Réédition Août 2017. Ebook) . Références plateformes; voir ci-dessous.
Références :
Origines Egyptiennes du christianisme. https://pierrefasseauxecrivain.wordpress.com/2012/05/23/origines-egyptiennes-du-christianisme-partie-ii-jesus-legyptien/
Prof. Sarwat Anis Al-Assiouty, Recherches comparées sur le Christianisme Primitif et l’Islâm Premier – Tome II, Jésus le Non-Juif, Culte d’Isis Précurseur du Christianisme, Letouzey&Ané, Paris 1987 – Tome III, Origines Egyptiennes du Christianisme et de l’Islâm, Letouzey&Ané, Paris 1989 – Civilisations de répression et forgeurs de livres sacrés, Maât La Vérité Letouzey&Ané, Paris 1995.
Contexte :
L’histoire et le contexte socioculturel, religieux ainsi que juridique égyptien, mésopotamien et des Pays du Levant ont exercé une influence incontestable sur les origines de la Bible et de ses rédacteurs. Différents théologiens, archéologues et philosophes l’ont démontré. L’Illustre fondateur du christianisme, Jésus-Îsâ, ne pouvait donc ignorer ces influences. L’historien et docteur en droit égyptien, le Prof. Sarwat Anis Al-Assiouty développe une intéressante argumentation sur ces sujets dans ses « Recherches comparées sur le Christianisme Primitif et l’Islâm Premier », les « Origines Egyptiennes du christianisme ». En particulier, en se référant notamment à l’étymologie égyptienne et arabe, l’historien démontre que les propres origines de l’Illustre fondateur du christianisme, Jésus-Îsâ, ne pouvaient être juives, mais bien égyptiennes. Il en allait donc de même pour ses parents, Marya et Yosef.
Préambule :
D’une part, pour le Prof. Sarwat Anis Al-Assiouty, l’origine juive de Marie n’est pas acceptable. Le nom de sa propre mère « Anne » est dérivé de « Hanna » et était plus courant dans le monde arabe. Le Prof. Sarwat Anis Al-Assiouty ainsi que des chercheurs juifs ont de même établi que le nom « Marie » serait un nom égyptien issu de » Marya », ou Mariam et de l’arabe Marâm signifiant « désir ». Le nom « Maria » ne serait pas porté par les femmes juives. Certains archéologues et directeurs d’études indiquent cependant que les prénoms « Maria, Jésus (Îsâ), ou Yosef » étaient répandus à l’époque, et d’autres vont identifier Jésus comme étant originaire de Nazareth, ce que réfute l’auteur le Prof. Al-Assiouty.
Le Miroir de L’Amour, Marie- l’Aimée l’Egyptienne.
« Mer » en ancien égyptien signifie « aimer ». Le mot est symbolisé en hiéroglyphes soit par le symbole d’une houe, d’un canal d’énergie ou d’une pyramide. Le symbole de la houe est intéressant car cet outil creuse la terre pour la cultiver et la rendre productrice, ce qui évoque la « Mère créatrice et productrice ».
Dans la même hypothèse, et toujours selon l’auteur le Prof. Sarwat Anis Al-Assiouty, « Maria » dérive de l’égyptien « mri » signifiant « l’aimé ». A partir de « mri », il y a différentes déclinaisons utilisées en Egypte, mri-im ou mri-yam signifiant l’aimée de cet endroit, mri-amon signifiant « l’aimée d’Amon ». Cette deuxième hypothèse reste donc la plus plausible, le nom de Marie, issu de Mariam étant un nom égyptien effectivement porté par les femmes égyptiennes en Egypte et dans la Terre des nations en pays de Canaan par les égyptiens, arabes et syro-phéniciens. Dès lors, le retour en Egypte de la famille est logique dans ce contexte, tel qu’écrit dans la Bible, tout comme un récit des Actes[1](1) dans lequel le tribun voit Jésus comme un Egyptien. Il est évident qu’il y avait en effet un grand nombre de familles égyptiennes vivant dans la Terre des Nations[2](2).
D’autre part, Maria est invoquée par le mot « Sit » dans la prière des coptes ce qui signifie « la Dame », nom préalablement attribué à Isis, soit en hiéroglyphes « A set ». La prière « délivre-nous du mal » prononcée par les chrétiens reprend la prière égyptienne à Isis « Aset sefekh oui m’bin ».
Ainsi, Marie, mère de Jésus-Îsâ est « Mri – L’Aimée », en quelque sorte le reflet ou miroir de l’Amour. La lecture des hiéroglyphes nous révèle des origines bien symboliques. La lettre M symbolisée par la « chouette regardant de face » représente l’intériorité, la lettre R signifie la bouche qui parle, et le I dessiné par le roseau en fleur figure la nature rendue visible[3](3). L’Amour vrai est en effet bien intérieur et souvent peu visible. C’est d’autant plus juste que le mot Amour est traduit en hiéroglyphes par le mot « Merout » (même racine que Mer), soit par la suite des symboles suivants : la houe, la petite caille, le demi-cercle renversé figurant la lettre T signalant que le mot est féminin. Mais surtout il se termine par un symbole d’abstraction mystérieux en lien avec la pensée humaine, l’intuition et le divin sacré[4](4). L’amour vrai est ainsi un témoin du lien qui nous lie avec le divin (aussi) présent en chacun de nous.
L’auteur Christian Jacq précise toutefois que la lettre I en hiéroglyphes constitue en fait un « iod ». La lettre I représente de ce fait le Principe, l’Unité et correspond au Aleph phénicien ou au Alif arabe tout comme le I chinois. Selon le métaphysicien René Guénon, le « Iod » serait aussi assimilé phonétiquement au mot « God ». La verticalité du trait de la lettre I, correspondant au Alif symboliserait ainsi la nature du Dieu rendu visible en descendant sur Terre.
Marie- L’Aimée est aussi « femme » épouse de Yosef et Mère. Cette union réalise l’accomplissement symbolisé par la Trinité originelle et familiale (Marya-Yosef-Jésus) telle qu’alors revendiquée par la gnose des Pères de l’Eglise[5](5). Car la Trinité familiale[6] (6) composée de la femme, l’homme et l’enfant, magnifiée par l’union de l’homme et de la femme constitue l’authentique archétype porteur de vie et source de reproduction naturelle de la vie sur Terre. Les Pères de l’Eglise assimilaient effectivement Marie à l’Esprit-Saint, la colombe de Paix, une quintessence. Ainsi la Femme-Mère réinvestit une place dans la Trinité chrétienne canonique tardive (le Père, le Saint-Esprit, le Fils), dans laquelle elle avait disparu. Yosef le Père est alors complémentaire de Marie l’Esprit-Saint, tout comme Osiris est complémentaire d’Isis et donne naissance à Horus, Marie donne naissance à Jésus-Îsâ. Marie- l’Aimée est donc bien « Mère »… de Jésus-Îsâ.
Même le machisme contenu dans la Genèse institue que la création de l’homme précéda celle de la femme, alors que la logique naturelle des anciens égyptiens considère la femme, porteuse de la matrice comme précédant la création de l’homme pour s’accomplir en initiatrice de l’humanité. Pas de naissance possible sans l’existence préalable de la matrice. N’est-ce pas la femme qui met l’homme-enfant au monde, la femme qui réalise la naissance ? Etrange Trinité canonique chrétienne célébrant la gloire de Dieu le Père ( et ce faisant en reconnaissant sa masculinité), exaltant la domination mâle et la généalogie au travers de la filiation de Père en Fils. Une Trinité composée de la Mère, de la Fille et d’un Tiers-Esprit n’endosserait pas davantage d’état de grâce ni d’honneur. Et pourtant les Ecrits Apocryphes chrétiens[7] (7) font référence au principe de l’androgyne primordial qu’avaient repris les gnostiques valentiniens. Créé bisexué à l’origine, l’homme fut séparé en deux après la chute, partie mâle, partie femelle. Et ainsi émergeait la terrible dualité. Il devint l’homme ordinaire, éloigné de la puissance céleste.
Marie l’Aimée est Femme Céleste et Mère Déesse. Elle est créatrice et porte le développement de la vie à l’instar de la Matrice originelle universelle, le NOUN. Elle est une « Shakti », « Mère Universelle dans le sein de laquelle tous les êtres incarnés viennent à l’existence[8] » (8). Le Noun est l’océan primordial, à la fois liquide et énergie. Et c’est vraisemblablement dans ce contexte que, pour les anciens Egyptiens la Mère est un Être céleste représenté en hiéroglyphes par « Mout » le Vautour, alors que le Père est un Être terrestre. Cette ancienne philosophie égyptienne réaffirme donc la pertinence de la Trinité familiale dans laquelle Marie- l’Aimée est le Saint-Esprit, une quintessence. Même dans l’hindouisme, Shakti est la Mère divine, principe actif et force consciente suprême du divin. Il s’agit donc d’une inversion par rapport au principe métaphysique commun tel que considéré dans la tradition chinoise et précisé à nouveau par René Guénon[9](9), dans lequel la Terre est substance yin et représente le principe féminin, et le Ciel est essence yang et représente le principe masculin. Etrangement, ici le mâle est celui qui investit et condense un rôle actif céleste, alors que la femme semble réduite à un rôle terrien, passif, yin et porteur du fœtus. N’est-ce pas encore une bien étrange influence du machisme ancestral, de coutumes judéo-chrétiennes, voire de la tradition chinoise ? Même la naissance de Padma-Sambhava, réincarnation du Bouddha au Ve siècle avant notre ère est décrite comme une naissance immaculée, qui eut lieu dans une fleur de lotus, « une naissance non souillée par le passage dans le sein d’une mère humaine [10]»(10). L’imagerie de ce récit présente une similitude avec celle exposée par la Bible pour la naissance de Jésus-Îsâ et la pureté immaculée conférée à Marie. Il ne faut toutefois pas comprendre ici que la souillure se réfère à la femme-mère mais bien à l’humanité, la communauté des hommes contraints de par leur nature à l’imperfection, la cécité, l’illusion de l’esprit sangsârique. Suivant Madeleine Scopello, Directrice de recherche au CNRS, université Paris-IV Sorbonne, « Marie-Madeleine, compagne du Sauveur[11](11), représente même l’exemple du disciple parfait. Par le biais de révélations et de visions, Jésus lui confie les secrets des mondes supérieurs… car elle comprend les paroles secrètes mieux que les autres apôtres… » « Elle a donc été convertie à la véritable connaissance, la gnose [12](12)». On va retrouver une évocation identique en Inde au Cachemire avec le grand siddha du nom de Naropa, à l’origine d’une grande école mystique du bouddhisme tibétain au 11e siècle. Ni-gu-ma, la compagne de Naropa symbolisait en effet la « prajna »[13] (13) (mot sanskrit), soit la gnose en tant que connaissance transcendantale. De plus Ni-gu-ma est considérée comme l’élément féminin uni à l’élément masculin « upaya » de son compagnon. Cet élément masculin représente l’action de compassion ( karuna en sanskrit) du bodhisattva, qualité « d’Être à l’Eveil » que l’on pourrait certainement aussi attribuer à Jésus. Cette union suprême de la connaissance sapientiale (sagesse) et de la compassion constitue l’essence du Dharma, sans dualité aucune[14] (14).
S’il était dit que Jésus enseignait autant aux hommes qu’aux femmes, ce qui semble logique dans le cadre d’une Parole universelle, l’Eglise « des hommes » n’a pas poursuivi cet esprit d’ouverture et le restreindra peu à peu, créant la faille et ainsi le dualisme. « Ainsi, l’apôtre Paul disait que les femmes doivent se voiler dans les assemblées et que l’enseignement leur est interdit[15] (15)». Quand à l’apôtre Pierre, futur chef de l’Eglise, l’Evangile selon Thomas reprend une phrase encore plus significative : « Que Marie (Madeleine) sorte de notre groupe car les femmes ne sont pas dignes de la vie. »
Eloge de Marie, Unité Principielle Issue du Ciel et Mère du Ciel.
Dans ce contexte du Ciel et de la Terre, toujours selon R. Guénon, l’Homme universel est Fils du Ciel et de la Terre, il est le troisième de la Triade car engendré ou le deuxième lorsque considéré comme le médiateur[16] (16) entre le Ciel et la Terre.
Médiateur. Le terme évoque bien l’existence potentielle d’un conflit ou plutôt d’une dualité entre le Ciel et la Terre, le yin et le yang, entre l’essence et la substance, entre le divin et le terrestre. A l’inverse, le Noun océan primordial contenant à la fois l’Eau et l’énergie réalise l’Unité, la Paix. Cependant que l’homme est dominé par la tyrannie de la dualité et les perpétuels conflits sur terre qu’il provoque, la prétendue supra dualité au niveau cosmique ressemble plutôt à une transposition, une invention de l’homme alors qu’il s’agit davantage d’une paisible coexistence de la Terre et du Ciel. Même si la Terre évoque le chaos. Ainsi, la substance n’est pas décantée de l’essence, la Terre n’est pas séparée du Ciel car la Terre EST dans le Ciel, la Terre EST le Ciel, à l’instar des autres étoiles. Lorsqu’on observe le ciel, n’observe-t-on pas les étoiles ? La substance n’est-elle pas un état passager de l’essence ? Ainsi Terre et Ciel se fondent l’un dans l’autre, le Yin rentre dans le Yang et inversement.
Et même davantage, dans cette évocation des choses, l’homme terrestre est donc aussi… dans le ciel. Parti des étoiles, il est un fragment d’étoiles. Il EST le Ciel, tout comme le nomade[17] (17) ermite EST dans le Ciel. Le divin n’est pas séparé du terrestre ni de l’homme. En tant que femme, Marie- l’Aimée, Être céleste et quintessence de nature, par son Amour « Merout » représente d’autant plus et condense comme dit plus haut, ce lien avec la pensée humaine et le divin sacré. Elle est aussi « l’Alif ».
Justement, si on se réfère à l’origine du prénom Marie, comme précisé plus haut, soit MRI, la lettre I du « iod » ou du mot « God » renvoie par sa forme au chiffre I, à la forme de l’Alif et à l’Unité principielle[18](18). Et finalement, Maria est comparée, à l’instar d’Isis et de Shakti, à la Déesse de l’Amour, l’Amour que magnifiera de même son Fils « Îsâ », car Marie- l’Aimée est l’Amour vrai. Elle est Déesse et Unité, issue du Noun primordial. Et c’est dans ce sens que l’on peut considérer à nouveau le terme central de la Grande Triade de René Guénon, soit « Le Fils » du Ciel et de la Terre qui réalise l’Unité. Dans le cadre de cette Unité principielle, Le Fils du Ciel pourrait certes être de même la Fille du Ciel, ils sont les enfants du Ciel. Et Marie la Mère du Ciel et de la Terre, est la Mère descendue sur Terre.
De la Déesse-Dieu à l’Androgyne
Toutefois si l’on fait abstraction complète de la dualité exprimée par le genre (masculin-féminin), conformément au Tao-Te-King et aux Ecrits Apocryphes chrétiens, l’Homme véritable condensant le parfait équilibre du yin et du yang, partie mâle et femelle, réalisant l’Unité…serait l’Androgyne primordial[19](19). Il est en effet intéressant de noter que l’Evangile selon Thomas signale : « Mais Jésus dit : voici que moi je l’attirerai pour la rendre mâle, de façon à ce qu’elle aussi devienne un esprit vivant semblable à vous, mâles. Car toute femme qui se fera mâle entrera dans le royaume des cieux[20] (20)».
La shakti dans l’hindouisme va dans le même sens car la fusion totale des principes féminins et masculins, physique, mentale et spirituelle, préside à l’éveil, la conscience suprême et la sérénité[21](21). Enfin, le système religieux de l’ancienne Egypte impliquait de même que chaque divinité mâle possédât son principe féminin dans une déesse parèdre symbolisant par là cet équilibre parfait dans l’union. Ainsi, la Déesse-Dieu devient elle aussi Androgyne, tout comme les enfants du Ciel.
Philosophie que l’on retrouve à la fois dans l’ancienne Egypte, dans l’hindouisme et les Ecrits apocryphes chrétiens, et qui apparaît comme universelle.
Références plateformes ebook » L’Opus in Septem – Complot terroriste au temple de Hatshepsout »:
https://www.amazon.fr/s/ref=nb_sb_noss?url=search-alias%3Ddigital-text&field-keywords=9782376920281
https://play.google.com/store/search?q=9782376920281&c=books
https://livre.fnac.com/a5123066/Fasseaux-Pierre-L-opus-in-septem
https://books.google.fr/books?id=gCcvDwAAQBAJ&pg
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http://store.kobobooks.com/fr-fr/Search?Query=9782376920281
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Bibliographie détaillée :
1-Dans les Actes 21 verset 38, le tribun parle à Paul qui vient d’être arrêté. Il se rend compte qu’il n’est pas « cet Egyptien (Îsâ) qui provoquait une sédition et entraînait des milliers de gens dans le désert.
2-Sarwat Anis Al-Assiouty,Tome II, résumé p.141-150.
3-Christian Jacq, Le champollion Illustré, p.38.
4-Christian Jacq, Le champollion Illustré, p.157.
5-Cette gnose n’est pas sectaire comme pouvait l’évoquer René Guénon dans la Grande Triade à propos de sectes. Elle a l’avantage d’être authentique.
6-Voir l’article : « Les origines Egyptiennes du Christianisme. Partie III- Dogme et culte empruntés et reforgés. ». Maria et la trinité. https://pierrefasseauxecrivain.wordpress.com
7-Evangile selon Thomas, Bibliothèque de la Pléiade, p.57, Ed.1997. Voir aussi L’Opus in Septem, Complot en Egypte, p.358, Pierre Fasseaux. Ed. Thélès 2011./ Voir aussi: Origines égyptiennes du christianisme, partie III, le concept monothéiste et la création. https://pierrefasseauxecrivain.wordpress.com
8-W.Y.Evans-Wentz, Le Livre Tibétain de la grande libération, p.56, Ed. Adyar.
9-René Guénon, La Grande Triade, p. 33, Ed. Gallimard 1957.
10-W.Y.Evans-Wentz, Le Livre Tibétain de la grande libération, p.78, Ed. Adyar.
11- Evangile selon Philippe, apocryphe retrouvé à Nag Hammadi en Egypte, p.47
12-Revue Sciences et Avenir, janvier 2013, Le Mystère de l’Evangile de la femme de Jésus, p.50
13-Robert Sailley, Le bouddhisme tantrique indo-tibétain, p.61, Ed. Présence, 1980
14- Robert Sailley, Le bouddhisme tantrique indo-tibétain, p.100, Ed. Présence, 1980
15-Revue Sciences et Avenir, janvier 2013, Le Mystère de l’Evangile de la femme de Jésus, p.50
16- René Guénon, La Grande Triade, p. 31, Ed. Gallimard 1957.
17- Le nomade, l’ermite et le dieu caché. Deux métamorphoses du nomade. https://pierrefasseauxecrivain.wordpress.com
18- René Guénon, La Grande Triade, p. 208, Ed. Gallimard 1957
19-René Guénon, La Grande Triade, p. 84, Ed. Gallimard 1957.
20- Evangile selon Thomas, p.57, Ecrits apocryphes chrétiens, Bibliothèque de la Pléiade, Ed. 1997 – Et, L’Opus in Septem, p.358, Ed. Thélès 2011.
21- The Sanskrit Heritage Dictionary of Gerard Huet. /Shakti.Fr.Wikipedia.org
[1] Dans les Actes 21 verset 38, le tribun parle à Paul qui vient d’être arrêté. Il se rend compte qu’il n’est pas « cet Egyptien (Îsâ) qui provoquait une sédition et entraînait des milliers de gens dans le désert.
[2] Sarwat Anis Al-Assiouty,Tome II, résumé p.141-150.
[3] Christian Jacq, Le champollion Illustré, p.38.
[4] Christian Jacq, Le champollion Illustré, p.157.
[5] Cette gnose n’est pas sectaire comme pouvait l’évoquer René Guénon dans la Grande Triade à propos de sectes. Elle a l’avantage d’être authentique.
[7] Evangile selon Thomas, Bibliothèque de la Pléiade, p.57, Ed.1997. Voir aussi L’Opus in Septem, Complot en Egypte, p.358, Pierre Fasseaux. Ed. Thélès 2011./ Voir aussi: Origines égyptiennes du christianisme, partie III, le concept monothéiste et la création. https://pierrefasseauxecrivain.wordpress.com
[8] W.Y.Evans-Wentz, Le Livre Tibétain de la grande libération, p.56, Ed. Adyar.
[9] René Guénon, La Grande Triade, p. 33, Ed. Gallimard 1957.
[10] W.Y.Evans-Wentz, Le Livre Tibétain de la grande libération, p.78, Ed. Adyar.
[11] Evangile selon Philippe, apocryphe retrouvé à Nag Hammadi en Egypte, p.47
[12] Revue Sciences et Avenir, janvier 2013, Le Mystère de l’Evangile de la femme de Jésus, p.50
[13] Robert Sailley, Le bouddhisme tantrique indo-tibétain, p.61, Ed. Présence, 1980
[14] Robert Sailley, Le bouddhisme tantrique indo-tibétain, p.100, Ed. Présence, 1980
[15] Revue Sciences et Avenir, janvier 2013, Le Mystère de l’Evangile de la femme de Jésus, p.50
[16] René Guénon, La Grande Triade, p. 31, Ed. Gallimard 1957.
[18] René Guénon, La Grande Triade, p. 208, Ed. Gallimard 1957
[19] René Guénon, La Grande Triade, p. 84, Ed. Gallimard 1957.
[20] Evangile selon Thomas, p.57, Ecrits apocryphes chrétiens, Bibliothèque de la Pléiade, Ed. 1997 – Et, L’Opus in Septem, p.358, Ed. Thélès 2011.
[21] The Sanskrit Heritage Dictionary of Gerard Huet. /Shakti.Fr.Wikipedia.or